🌩️ Comment Faire De La Marmelade De Coing

10cl de vin rouge. thym, romarin. Pour la purée d’oignons : 800g d’oignons. Huile (d’olive ou de pépins de raisins) 1/4 l de béchamel. 5 cl de crème fraîche. sel fin. poivre moulu. Pour la garniture : 300 g de pommes de terre. 2 oignons. 6 gousses d’ail. thym. huile d’olive. Préparation : A faire la veille : Versezle jus et le sucre dans une casserole. Ajoutez le sachet de gaze contenant la peau et les pépins des coings. Portez à ébullition pendant 10 Commeen faire un maison devenait assez dispendieux vs le prix de celui-ci, je me suis laissée tenter. Ensuite j'ai fouillé un peu pour savoir comment le manger et c'est avec cette recette toute simple de Patrice Demers trouvée chez la Casserole Carrée que j'ai choisi de le cuisiner. On prépare la marmelade un jour à l'avance. jaimerais des étiquettes , gelée de coings, marmelade de coings, confiture de coings, compote de pommes sur fond de madras ou cocotier svp , merci beaucoup 20. roger marie-rose Le 21/09/2018; bonjour Max pouvez-vous me faire une étiquette ancienne pour bouteille pour de la liqueur de tanaisie un grand merci par avance, ce que vous faites est formidable 21. Trin Le Dansma recette 0 gaspillage, on va transformer cette partie et en faire une sorte de "marmelade" (ceci n'en est pas une vraie, mais j'appelle ça Lavezet frottez une dizaine de coings, ôtez le cœur et les pépins puis coupez-les en morceaux. Plongez ces morceaux dans 1,5 litre d’eau bouillante pendant 20 minutes puis égouttez-les. Mixez vos fruits jusqu’à l’obtention d’une purée puis placez-la dans une casserole avec une gousse de vanille et 1,5 kilo de sucre. à votre disposition une application pour créer gratuitement vos étiquettes de confiture ou de gelée à imprimer. Dans cette application en ligne, vous avez un modèle vierge d'étiquette et une série d'options vous permettant de personnaliser à vos souhaits l'apparence de vos étiquettes de confiture. sélectionner une 1 Rincez les cerises, séchez-les, équeutez-les et dénoyautez-les. 2. Versez l'eau dans une grande casserole. Ajoutez le sucre, mélangez et portez à ébullition. Faites cuire pendant 10 à 12 minutes à feu doux. 3. Ajoutez les cerises et continuez à faire cuire à feu doux (à léger frémissement) pendant environ 8 minutes. Jai épluché et épépiné mes coings et les ai coupés en petits morceaux. Les ai mis dans une cocotte en fonte en les couvrant à peine d'eau et les ai laissé cuire 30 mn. Puis j'ai ajouté le sucre, 1/2 jus de citron, 1 sachet de sucre vanillé, 1 petit bâton de cannelle, 3 clous de girofle et 1 cuillère à café de gingembre en poudre 1 Lavez les coings pour ôter le duvet, coupez-les en deux et mettez-les à cuire 1 heure ou plus selon la quantité. Retirez-les du faitout, pelez-les, ôtez le cœur sans trop gratter. Passez la pulpe au moulin à légumes. 2. Pesez la pulpe obtenue, versez-la dans une bassine à confiture avec le même poids de sucre. Cakeà la compote de coing. Envie de cake à la compote de coing ? Découvrez cette recette de gelée de coing et donnez votre avis en commentaire !. La recette par Encore une lichette. Chef Simon. Club Recettes Apprendre Matériel Boissons. Inscription. Connexion S'inscrire Ouvrir menu Club Recettes Apprendre. Fermer menu. Club Découvrir le club S'inscrire Gourmets Forum. 1Préparez les coings. Pesez-les pour avoir 1 kg. 2 Mettez-les dans une casserole et recouvrez-les d'eau froide. 3 Faites-les cuire à feu doux en Commentfaire de la marmelade avec de la gélatine - une recette très simple Faire de la vraie marmelade à la maison est assez difficile à cause du temps et des efforts (pas des finances). L'utilisation de gélatine ordinaire accélère considérablement le processus, bien que le produit sucré résultant ait une durée de conservation beaucoup plus courte. Javais décidé cette année de faire de la marmelade, je suis tombée sur votre recette, et demain je m’y mets. Je vous tiendrai au courant du résultat. A bientôt. Répondre. Samar . 5 janvier 2021 à 03:39. Bonsoir Mireille Je viens Entremarmelades et confitures. 5 août 2017 · Confitures, Marmelades, Fruit de saison. Il est vraiment rare, ces derniers temps, que je me lance à faire confitures et marmelades, tant mon panier bio regorge de fruits divinement bons. J'en suis réduite à les cacher, afin d'être certaine de pouvoir réaliser quelques recettes de pâtisserie 0B0U6. Pâte de coings ©hlphoto shutterstock La pâte de coings fait partie de mes souvenirs d’enfance. Il y avait toujours des plaques qui séchaient sur les armoires à la saison. Et on en consommait tout l’hiver. C’est très parfumé, savoureux, gourmand. J’adore les parfums du coing cuit. C’est envoûtant je trouve. Il vous faut 6 coings le poids en sucre de la purée de coings 1 citron Lavez et brossez bien les coings. Coings Pelez-les et coupez-les en quartiers. Mettre pelures + trognons + pépins dans une casserole, recouvrir d’eau et faire cuire jusqu’à ce que les pelures soient bien molles. Passer dans une passoire pour récupérer le jus. Dans ce jus faire cuire les quartiers de fruits à petit bouillon. Dès qu’ils sont cuits, les sortir du jus, laissez égoutter. Les passer au moulin à légumes. Garder le jus pour la réalisation de la gelée clic pour la recette. Peser cette purée et ajouter 1 livre de sucre fin pour 1 livre de purée sachant qu’une livre = 500 g. Faire cuire doucement quelques minutes tourner souvent car ce mélange à tendance à attacher. Étaler la purée cuite sur un plateau. Préparation de la pâte de coings Couper en carrés et laisser sécher environ 15 jours. A surveiller ! Tout dépend si l’on aime plus ou moins humide. On peut profiter de la haute saison de certains fruits et légumes pour en faire des conserves maison. Grâce à la stérilisation ou la pasteurisation, on pourra conserver à température ambiante des aliments cuits, des sauces, des potages… On va chauffer les aliments à une température donnée pendant une durée déterminée. Si on respecte bien les consignes de préparation et les règles de propreté, cette technique de conservation permet de garder les bocaux pendant plusieurs mois. L’inconvénient chauffer les aliments détruit une grande partie des vitamines et consomme de l’énergie. Il existe d’autres techniques de conservation des fruits et des légumes. Sommaire Quels récipients utiliser ? Pasteurisation et stérilisation, des différences importantes Que choisir pasteurisation ou stérilisation ? Pour les aliments et préparations acides Pour les autres aliments Faire une conserve stérilisée à 100°C comment procéder ? Comment vérifier que la conserve est bien faite ? Que peut-on stériliser ? Des recettes, des recettes ! - - - - - - - - - - - - - Quels récipients utiliser ? On utilise des bocaux en verre adaptés à la stérilisation soit des bocaux à couvercle en verre à clips » avec un joint en caoutchouc c’est le modèle le plus courant.[1] soit des bocaux à couvercle à visser en 2 parties une capsule en métal qui restera "collée" au bocal après stérilisation et une partie à visser par-dessus pour tenir la capsule en place pendant la stérilisation. Bocaux pour conserves, de gauche à droite couvercle en verre avec joint en caoutchouc et ferrures métalliques source - couvercle en verre avec joint en caoutchouc et clips en métal source - couvercle à visser, avec capsule en métal source. Ces bocaux, adaptés à la stérilisation maison, sont faits pour être réutilisés, résistent à la chaleur et leurs joints pour les modèles à rondelles ou couvercles pour les modèles à vis peuvent être facilement changés. Ils doivent être remplacés à chaque mise en conserve.[2] On évite de récupérer des bocaux de fruits et légumes en conserve du commerce. Ils n’ont pas étés prévus pour cela couvercles qui s’abîment, impossibilité de changer le joint, etc. On a plus de chances de réussir une conserve avec des bocaux ad hoc. Et une conserve ratée, c’est un risque d’intoxication alimentaire ! Les bocaux se trouvent facilement en seconde main. On veille surtout à ce qu’ils soient en bon état pas fêlés, ébréchés… et complets. Pasteurisation et stérilisation, des différences importantes La conservation par la chaleur on dit aussi traitement thermique » regroupe trois grandes méthodes La pasteurisation. Elle se fait souvent à une température autour de 80°C. Cela préserve mieux le goût et les nutriments des aliments que les températures plus élevées. Elle tue les microorganismes vivants » qui empêcheraient une bonne conservation des aliments. Mais elle ne détruit pas les spores [3] des microorganismes. Le bocal doit donc être conservé à basse température pour que ces spores ne germent pas dans la conserve.[4] C’est une technique facile à réaliser à la maison avec une simple casserole d’eau ou un stérilisateur » à thermostat.[5] La stérilisation. Elle se fait entre 116 et plus de 140°C.[6] Elle détruit tous les microorganismes, ainsi que leurs spores.[7] Il ne subsiste donc, après stérilisation, rien qui puisse se développer dans la conserve ni bactéries vivantes, ni spores qui pourraient éclore ». Elle permet de garder les conserves à température ambiante. Il n’est pas possible d’atteindre ces températures avec une marmite d’eau chaude. L’eau bout à 100°C et ne monte pas plus haut.[8] Pour aller au-delà de 100°C, il faut utiliser un appareil sous pression, généralement un autoclave difficile à trouver en Europe à un prix raisonnable. [9] La stérilisation est beaucoup plus répandue en Amérique du Nord qu’en Europe. La pasteurisation stérilisante ou stérilisation à 100°C » [10]Elle se situe à mi-chemin des deux méthodes précédentes. On pasteurise des aliments acides fruits, tomates… à l’eau bouillante 100°C. La chaleur détruit les microorganismes vivants mais pas leurs spores. Cependant, l’acidité des aliments est suffisante pour empêcher le développement des spores dans la conserve. On arrive donc au même genre de conservation qu’avec la véritable stérilisation. Au sens strict, cette technique ne serait donc pas adaptée aux légumes, non acides. Mais ça se discute ! Les bocaux peuvent être stockés à température ambiante. Si l’on utilise cette méthode pour des aliments non acides, on garde plutôt les bocaux en-dessous de 14°C. On peut utiliser une casserole d’eau bouillante ou un stérilisateur, au choix. Que choisir pasteurisation ou stérilisation ? Pour les aliments et préparations acides On choisit la pasteurisation stérilisante pour les aliments et préparations acides. Par exemple pour conserver les fruits pour les confitures, les chutneys, les légumes au vinaigre… Les tomates sont un cas à part. On ajoute parfois un peu de jus de citron pour être certain que la conserve soit assez acide.[11] Pour les autres aliments On peut également utiliser la stérilisation à 100°C pour d’autres aliments, non acides légumes verts notamment, même si les avis sont partagés. Il y a une grande différence de pratiques entre l’Europe et l’Amérique du Nord En France et en Belgique, la stérilisation à 100°C est très répandue et ancestrale ». Il existe de nombreuses recettes de conserves, que les aliments soient acides ou non. Les appareils vendus dans le commerce sous le nom stérilisateurs » sont d’ailleurs des marmites évoluées mais limitées à 100°C. En Amérique du Nord, les conserves maison sont beaucoup plus populaires et les autoclaves domestiques très répandus. On y stérilise sous pression à plus de 116°C donc tout ce qui n’est pas acide. On conserve aussi beaucoup de plats préparés notamment avec de la viande. Si l’on se base sur l’expérience, la stérilisation à 100°C, pratiquée en Europe depuis fort longtemps, est suffisamment sûre.[12] Mais difficile de trancher en l’absence d’étude analysant toutes les recettes existantes. Pour limiter les risques, on veille toujours à suivre scrupuleusement la recette, venant de sources sûres cf. adresses utiles en fin d’article, et bien respecter la durée pour la stérilisation ; être irréprochable sur la propreté ustensiles et bocaux parfaitement propres, aliments lavés avant préparation ; vérifier que la conserve s’est bien faite avant de la stocker voir ci-dessous ; conserver ses bocaux au frais et au sec, idéalement en-dessous de 14°C pour les aliments non acides vive les caves ! ; consommer les aliments dans l’année ; réchauffer le contenu de la conserve 5 minutes à 85°C ou quelques minutes à ébullition juste avant de le consommer.[13] Si l'on ne veut vraiment prendre aucun risque, on peut aussi se limiter aux recettes d’aliments acides pour la stérilisation à 100°C ; stériliser le reste à 116°C tout en sachant que le matériel adéquat est peu distribué en Europe ; ne pas stériliser et utiliser une autre méthode de conservation, comme par exemple la lacto-fermentation, très fiable et qui conserve mieux les nutriments. On peut aussi lire l’avis de l’Afsca sur le sujet. Faire une conserve stérilisée à 100°C comment procéder ? On commence par cuisiner l’aliment selon la recette soupe, légume cuit, coulis, purée, sauce, compote…. Puis on place la préparation dans un bocal propre lavé et on stérilise l’ensemble. On peut aussi mettre dans le bocal des fruits et légumes simplement blanchis et non cuits. Les étapes Choisir une casserole suffisamment haute[14] au moins 5 cm de plus que les bocaux pour éviter que l’eau bouillante déborde continuellement pendant la stérilisation. Ou bien on utilise un stérilisateur[15]. Il a l’avantage d’avoir un thermostat et une minuterie. Ce n’est absolument pas nécessaire mais pratique si on fait beaucoup de conserves. Faire chauffer de l’eau dans la casserole. On estime la quantité d’eau nécessaire en plaçant les bocaux remplis d’eau [16] dans la casserole et en remplissant celle-ci jusqu’à ce que les bocaux soient recouverts de 2-3 cm d’eau. On retire les bocaux. Laver les bocaux avec de l'eau chaude et du liquide vaisselle voir notre recette de liquide vaisselle écologique. Bien les rincer. Les laisser sécher sur un essuie propre, ouverture vers le bas. On rejette tout bocal fendu ou ébréché.[17] Préparer les fruits ou les légumes. Ils doivent être frais et mûrs. La stérilisation ne fait pas mûrir et un fruit ou un légume un peu limite » ne va pas s’améliorer non plus. On épluche si nécessaire. Les cuisiner selon la recette choisie soupe, légume cuit, coulis, sauce, purée, compote…. Il faut parfois ajouter du sucre, du citron ou encore du vinaigre. On peut aussi conserver des légumes non cuisinés mais on les blanchit alors au préalable. Quelques minutes à l’eau bouillante suffisent en général mais Test-Achats renseigne la durée optimale selon le légume. Remplir sans attendre les bocaux avec la préparation. Pour les fruits et légumes qui ne sont pas en sauce, on ajoute aussi le jus de cuisson dans la conserve. L’aliment et son jus de cuisson éventuel doivent être les plus chauds possibles. On laisse un vide de deux centimètres entre la préparation et le couvercle. Refermer les bocaux en plaçant une rondelle neuve [18] sur le couvercle pour les bocaux à rondelles ou avec un nouveau couvercle à vis. Ne pas forcer quand on ferme les bocaux à vis. Lorsque le bocal va refroidir, le couvercle va s’y coller et sera déjà assez difficile à ouvrir comme ça. Placer les bocaux fermés dans la casserole ou le stérilisateur[19]. L’eau doit arriver 2-3 cm d’eau au-dessus des bocaux. Pour éviter la casse, on veille à ce que les bocaux ne soient pas en contact avec la source de chaleur le fond de la casserole et ne puissent pas s’entrechoquer l’eau bouillante, ça bouge…. Pour cela, on place un linge en coton entre et sous les bocaux. On peut aussi utiliser une grille spéciale à mettre dans le fond. Attention, tout est très chaud. Une pince à bocaux ou un gant étanche ! en silicone sont plus que conseillés. Laisser les bocaux dans l’eau bouillante pendant la durée nécessaire en fonction de la recette. En altitude, on allonge le temps de cuisson » [20]. Laisser refroidir. On coupe le feu et on laisse les bocaux dans l’eau le temps que tout refroidisse [21]. Étiqueter et ranger les conserves. Pour rappel, on peut garder celles faites avec des aliments acides fruits à température ambiante mais on stocke plutôt les autres dans un endroit frais max. 14°C. Certaines recettes indiquent de cuire la préparation puis de la verser dans un bocal qu’on stérilise juste avant le remplissage. On ne stérilise alors plus l’ensemble mais on retourne le bocal fermé pour faire passer l’air à travers la préparation très chaude et le stériliser » ainsi. C’est une technique souvent utilisée pour les confitures mais plus risquée à mettre en œuvre pour d’autres aliments. Comment vérifier que la conserve est bien faite ? Après la stérilisation, quand tout est froid, on vérifie que la conserve s’est bien faite Pour un modèle à rondelle en caoutchouc, le couvercle doit rester collé même si on ouvre la ferrure métallique pour la marque Le Parfait » ou lorsqu’on retire les clips pour la marque Weck »[22]. Pour un modèle avec couvercle à vis, la capsule doit rester collée au bocal quand on enlève la partie à visser. Si le couvercle ne reste pas hermétiquement fermé, il faut impérativement manger le contenu rapidement et/ou le mettre au frigo et le consommer dans les jours qui suivent. On stocke les bocaux ferrure ouverte, sans les clips ou sans la partie à visser. C’est la dépression dans le bocal qui colle le couvercle, rien d’autre. Avant consommation, on vérifie que le couvercle tient toujours bien tout seul ». S’il s’ouvre, s’il ne résiste pas à la traction ou s’il fait pshiiit » à l’ouverture, c’est que la conserve a évolué depuis sa fabrication. Il y a probablement des bactéries qui se sont développées, ce qui crée des gaz. Généralement, l’aliment a aussi une mauvaise odeur [23]. En cas de doute, on ne mange pas le contenu ! Tant pis pour le gaspillage alimentaire. C’est l’occasion de commander chinois. Que peut-on stériliser ? Pratiquement tous les aliments peuvent être stérilisés ou pasteurisés avec les remarques importantes déjà évoquées fruits, légumes, viandes, poissons… On peut ainsi faire des conserves avec des tomates, des oignons, des artichauts, des courgettes, mais également des préparations comme de la sauce bolognaise, des soupes, des terrines et même du cake au chocolat. L’idéal pour commencer est de se limiter aux recettes simples avec peu de préparation. La mise en place de la conservation prend de la place et demande un peu d’organisation, inutile donc de se compliquer la vie pour ses premières conserves ! Des recettes, des recettes ! Internet regorge de recettes. Voici quelques suggestions de sites Un bon endroit pour commencer est la rubrique recettes de la marque Le Parfait ». Elles sont variées et clairement expliquées. Toutes les recettes utilisent la stérilisation à 100°C et sont considérées comme sûres. Le site québécois de référence Les recettes d’aliments non acides y sont autoclavées. Healthy canning en anglais. Même remarque. En savoir plus Découvrir d'autres techniques de conservation lacto-fermentation, conservation au vinaigre, au sucre, à l'alcool, à l'huile, congélation... dans notre article Comment conserver ses fruits et légumes de saison ? Quelques bons articles sur comment faire ses conserves Un résumé en PDF - - - - - - - - - - - - [1] Les deux systèmes les plus connus sont Le Parfait et Weck. Tous deux sont basés sur un bocal en verre avec couvercle en verre équipé d’une rondelle en caoutchouc. Le Parfait est équipé d’une ferrure permettant d’ouvrir et fermer à volonté le bocal une fois la conserve ouverte, tandis que le système Weck utilise des clips ne servant que lors de la stérilisation. Le Parfait ne vend pas de pièces détachées à part les caoutchoucs uniquement des bocaux complets qui sont considérés comme des couples uniques bocal/ferrure. Weck vend tout séparément bocal, couvercle, clips…. [2] Le joint assure l’étanchéité de la conserve, il est donc primordial qu’il soit dans un état impeccable. La mise en conserve l’écrase et sa forme change. Il n’est donc pas réutilisable en toute sécurité. [3] La spore est une sorte de graine ». Sous cette forme, la bactérie peut résister à des conditions beaucoup plus extrêmes que la bactérie vivante ». [4] La conserve gardée à température ambiante est un paradis pour certains microorganismes plein de nourriture, bonne température et absence d’oxygène. [5] Malheureusement les stérilisateurs vendus habituellement… ne stérilisent pas au sens strict du terme. Ce sont de grosses marmites avec quelques ajouts pratiques comme un thermostat ou une minuterie. Ils sont limités à 100°C il n’y a pas de pression comme dans une cocote ou un autoclave. [6] Une variante de la stérilisation est l’upérisation, qui consiste à chauffer très rapidement les aliments en général des liquides à 140°C avant de les refroidir. C’est une technique industrielle par exemple, le lait UHT ». [7] Plus particulièrement on veille à détruire les spores de la bactérie responsable du botulisme, Clostridium botunilum. Il en existe plusieurs types. La bactérie en elle-même n’est pas dangereuse, mais son activité produit une toxine très dangereuse, la toxine botulique, qui peut provoquer une paralysie des membres chez l’être humain. Certaines spores du Clostridium botulinum sont détruites à moins de 121°C mais cette température garantit l’absence de toute spore. [8] Au niveau de la mer. En altitude où la pression atmosphérique est plus faible, l’eau bout même avant d’atteindre 100°C. [9] L’autoclave monte facilement à 121°C, la température de référence pour la stérilisation. Il est très populaire en Amérique du Nord. En Europe, les autoclaves sont plutôt des machines de laboratoire ou de professionnels de la conserve, non destinées au particulier. Chez soi, on le remplace parfois par une cocote-minute appelée aussi autocuiseur ou casserole à pression mais celle-ci n’a pas été prévue pour stériliser et la pression atteinte n’est pas toujours suffisante. [10] Plus d'infos sur [11] Le pH limite est de 4,5. En-dessous, le Clostridium botulinum ne se développe pas. Il ne produit donc pas de toxine. Au-dessus, il se développe pH optimal vers 6-7. [13] La toxine botulique qui serait éventuellement présente est détruite à ces températures. [14] On ne stérilise pas au four. L’air conduit mal la chaleur et il est difficile d’atteindre la température de stérilisation au cœur du bocal en utilisant un four. Le bain-marie est la seule possibilité. [15] On vérifie aussi le nombre de bocaux que l’on peut mettre. Attention que les bocaux de marques différentes ont des formes différentes. Certains sont plus droits ou plus ventrus » pour un même volume. Cela peut avoir une influence sur le nombre de bocaux que l’on peut mettre dans le stérilisateur. [16] Sinon ça flotte. [17] On peut aussi stériliser les bocaux avant de les remplir, mais ce n’est pas nécessaire vu la stérilisation de l’ensemble qui suivra. [18] Éventuellement ébouillantée au préalable. Par exemple dans l’eau qui est en train de bouillir dans la casserole à stériliser. Suivre les prescriptions du fabricant tous n’imposent pas d’ébouillanter les rondelles. [19] À ce stade l’eau dans le stérilisateur / la casserole devrait être chaude / bouillante. Cela évite un choc thermique entre un bocal rempli d’une préparation très chaude et de l’eau froide. [21] A priori on peut aussi les retirer directement, mais certaines recettes demandent de laisser les bocaux dans l’eau jusqu’à refroidissement complet. C’est le refroidissement qui va coller » le couvercle au bocal. [22] Pendant la stérilisation, la pression monte dans le bocal et l’air va s’échapper par le couvercle, même fermé. Le couvercle maintenu par ses ferrures métalliques agira comme une soupape. Si l’air peut sortir, l’eau de stérilisation ne peut pas rentrer. Au moment du refroidissement, le bocal refroidit et la dépression se crée. Le couvercle est donc collé au bocal par la pression atmosphérique. C’est pour ça qu’on vérifie que la conserve s’est bien faite en enlevant les ferrures le couvercle doit résister à la traction. [23] La toxine botulique – encore elle – n’a pas d’odeur ou de goût. Mais normalement le développement de la bactérie qui produit cette toxine dégage des gaz donnant une odeur de rance et devrait dépressuriser la conserve. 31 octobre 2011 1 31 /10 /octobre /2011 0900 Cette année, notre cognassier a été très productif, environ 11 kg de beaux coings. J'ai donc décidé de me simplifier la vie et au lieu de la gelée et la pâte de coings des autres années, je me suis contenté d'une "marmelade". J'essuie les coings avec un chiffon pour retirer le "duvet". J'épluche les fruits en gardant la peau pour faire de la liqueur. J'enlève les pépins et mets le reste à cuire avec un peu d'eau. Lorsque les coings sont bien défaits, en marmelade, j'ajoute 3 kg de sucre en morceaux, pour 4,200 kg de coings 750g de sucre pour un kilo de fruits. La couleur virant au rouge, la marmelade est prête à mettre en pots. J'ai "fabriqué" les étiquettes avec ce site "mes étiquettes" fuschia Published by pagecouleur - dans recette confiture d’oranges facile et rapide confiture d’oranges facile et rapide Bonjour tout le monde, Avant de faire cette confiture d’oranges facile et rapide, profitant de la saison des oranges pour prendre son plein de la vitamine C, hihihihih, et comme les enfants chez moi mangent difficilement ce fruit allez savoir pourquoi??? j’en profite pour réaliser une bonne et délicieuse confiture d’orange maison parfaite en goût, ni trop sucrée ni amère. quand j’étais petite, la confiture d’orange était l’idéale en tartine pour le goûter, c’était la confiture que ma mère préparait le plus et en grande quantité, il y avait toujours cette grande quantité de pots de confiture d’abricots et d’oranges au fond du placard, déjà par ce que c’était les fruits de notre région. La saison des oranges mon père on ramenait des cageots d’oranges. Je me souviens que ces oranges étaient tellement juteuses et bien mûres, je faisais un trou dans la peau de l’orange, et je dégustais ça à la cuillère. Je ne sais pas comment je faisais ça, mais j’étais une experte, des fois je truquais, mes frères et soeurs et remettant le bout de la peau d’orange, sur le trou que j’avais fait, et je laissais l’orange vide à leurs portées, hihihihi juste pour voir la tête qu’ils faisaient quand ils tombaient sur une orange vide! Je reviens à la confiture d’orange de ma mère, qu’est ce qu’elle était bonne comme snack à l’époque dans un bout de pain baguette, ou dans un morceau de matlouh comme sandwich, avec juste du beurre tout frais sur une petite tartine. Ma mère nous préparait aussi son delicieux jus de carottes et oranges tout frais de bon matin, à l’époque, ma mère n’avait ni centrifugeuse, ni blender. elle préparait le jus dans la moulinette de légumes, et l’égouttait dans une passoire chemisée de mousseline, tout ça prenait beaucoup de temps, mais on connaissait une chose qui s’appeler patienter » à cette époque là et savourer les bonnes choses. Maintenant, mes enfants préfèrent un smoothie rapide, ou une jus fraichement extrait, quelle difference! Cette recette de confiture d’orange facile et rapide je l’ai apprise de ma mère qui faisait toujours sa réserve de confitures variés. et voila une sélection de confitures pour vous et voila la recette en vidéo sur ma chaine Youtube vous pouvez vous inscrire et activez la cloche pour être notifier de chaque nouvelle publication en vidéo confiture d’orange facile Pour les gourmands et pour d’autres recettes aux oranges, pourquoi ne pas essayer Cake a l’orange au yaourt, ce cake est encore plus délicieux avec du yaourt maison punch sans alcool à l’orange tarte à l’orange pâte de fruit a l’orange tarte génoise chocolat orange marmelade d’oranges non amère confiture d'oranges, facile et rapide Temps de cuisson 40 minTemps total 40 min Type de plat confiture, pate a tartiner 1 kg oranges poids net, pelées à vif1 zestes d'orange800 gr sucre1 bâtonnet de verre d'eau facultatif, si vos orange ne sont pas trop juteuse nettoyez et brossez les oranges. prélevez le zeste d'une orange sauf si vous aimez votre confiture un peu plus amère, ajoutez encore plus de zeste d'orangepilez les oranges à vif, on ne laissant rien de la peau blanche c'est ce qui donne l'amertumecoupez les oranges en cube moyen tout en gardant tout le jus qui s'y coulelaissez les pépins, car ça contient de la pectine et ça va aider pour avoir une confiture pas trop coulanteMettre le tout zestes, fruits, pépins, sucre et cannelle dans une marmite ou une bassine à confiture et laissez macérer tout une nuitReprenez votre préparation et faites cuire jusqu'à ce que la confiture commence à la cuisson en versant un peu de jus dans une soucoupe bien froide elle doit se figer légèrement. Le temps de cuisson peut être plus ou moins long en fonction de la qualité des fruits...Mettre enfin dans vos pots à confiture stérilisés, remplir en utilisant l'entonnoir à confiture jusqu'à rebord et placez les à l'envers jusqu'à total refroidissement. et voila ma réserve pour cet hiver. tartine, marmelade, confiserie, tarte, gateau, Agrumes Confiture de noel Vous avez essayé une de mes recettes, envoyez moi les photos sur mon email Si vous voulez recevoir les recettes de mon blog de cuisine facile et rapide, abonnez vous à ma newsletter

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